J’ai tant rêvé de toi [...]
Ô balances sentimentales.
[...]
J'ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu'il ne me reste plus peut-être, et pourtant, qu'à être fantôme parmi les fantômes et plus ombre cent fois que l'ombre qui se promène et se promènera allègrement sur le cadran solaire de ta vie.
[...] Corps et biens, À la mystérieuse, 1926
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