Dans le noir de la tourmente,
Tu siffllot’s, tu fermes les yeux,
Imagine un monde rose et mélodieux
Il recul’ra l’épouvante
d’être seul fragile et vieux

Quand l’tonnerr’se dévergonde
tu te bouch’s les quatre oreilles,
Ouvre un’ porte aux sonorités Merveille
Ell’avance et débonde
son flot comme vin d’la tonne

Il s’épand gronde Et résonne
un’ chanson gaie d’autrefois
Alors tout doucement tu la fredonnes
Et tes larmes bleues rayonnent
sur un sang rouge rythmique

Aux couleurs de la musique
où vibre l’espace
je rends grâce

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