Prénom : Marie
Nom : Ordinis
Signe particulier : Bretonne, angliciste par défaut (nobody's perfect) : trop petite pour être hôtesse de l'air, pas vraiment le physique d'une danseuse classique, trop peu hellénisante pour être prof de lettres classiques, trop nulle en maths pour le reste.
Exploits poétiques : est montée pour la première fois sur la scène à neuf ans pour jouer une fillette nantie d'un accent d'Outre-Quiévrain.
A beaucoup aimé la scène, s'y est mise à sourire vraiment pour la première fois.
A suivi des cours d'art dramatique, de ceux où on « passe » une scène, une fable ou un poème. A aimé les poèmes.
Rejoint les comédiens du Club des Poètes de Jean-Pierre Rosnay, où elle rencontre tant d'autres et Gérard Trougnou.
La semaine suivant l'apparition de la première quenotte de sa petite-fille, encouragée par le poète québécois Gaston Miron, elle fait paraître des textes qu'elle stockait.
Elle a été confortée dans sa résolution par Werner Lambersy (d'outre-Quiévrain) et plus tard par l'ami Jean Joubert.
S'ensuivent dix recueils. Le onzième s'intitulera, si vous le voulez bien, Si le cœur mendie.
Si le cœur vous en dit...
Marie tient un blog où elle commente l'activité théâtrale.
