Poète, qui es-tu ? Élizabeth de Courtivron
Membre de la Société des Poètes Français (SPF), Élizabeth considère la poésie comme un moment privilégié de partage.
Elle se tient à l’affût de tout événement littéraire comme occasion d’écrire. Elle aime ainsi participer aux Ricochets poétiques, à la Cave à Poèmes, au Cercle Saint-François, et aux diverses animations de la SPF, du Verbe Poaimer...
Certains de ses sonnets ont été mis en musique.
Elle souhaite procurer au public autant de plaisir à lire ou écouter ses poèmes qu’elle a eu de plaisir à les écrire.
Elle publie dans diverses revues : L’Agora, Le Journal à Sajat, L’Albatros, Le Portulan Bleu, Plein Sens, Jeux d’Épreuves...
Elle anime des chroniques régulières : Clin d’oeil poétique, dans le mensuel L’Ami du XXème, Chronique de fables, dans la revue électronique La Vie des Classiques aux Éditions des Belles Lettres.
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« Je cueille la poésie, comme on effeuille une marguerite… à tous vents, en tous sens, en tous lieux. Un rien devient pour moi instant poétique, que j’aime photographier avec les mots. La poésie est la sève de ma vie, présence évidente, permanente. La musique m’incite à la création par l’élan qu’elle me procure. »
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Dessin de Nicole Durand |
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Derniers prix de poésie
Mars 2020 : à Sartrouville, un Sarment de bronze et une mention pour deux sonnets, impromptus aux Ricochets poétiques.
Octobre 2019 : trois médailles par les Poésiades de Moulins pour un recueil de rondeaux et deux sonnets.
Mars 2019 : coupe par la Mairie du XXe pour "Sonnet quartier", sonnet acrostiche.
Août 2018 : médaille d'argent par le site La Vie des Classiques, pour la fable "La Nouille et l'Œuf".
Octobre 2018 : médaille de bronze avec mention par l'AIL, Académie Internationale de Lutèce, pour un recueil de sonnets.
Novembre 2017 : 1er prix au Verbe Poaimer, pour "Les Africains".
Un commentaire
Les poèmes d’Elizabeth de Courtivron sont pour la plupart des sonnets.
L’auteur en respectant tout à fait les règles de la prosodie française offre à la poésie ses plus beaux atours.
Ses généreux sentiments traduits en vers apportent au lecteur comme un apaisement après la lecture de ses alexandrins.
Ses sujets sont la nature, et dans un enrichissement de sa propre écriture, de ses créations, Élizabeth de Courtivron « décline les couleurs de l’Arc-en-ciel » en quelques sonnets dont les rythmes sont agréables, avec une élégance dans la composition même ainsi que dans le choix de rimes riches colorées d’images pures.
Un univers particulier nous entraîne dans les cheminements poétiques de l’auteur écrivant dans une versification régulière, son style étant limpide et savoureux.
En lisant à haute voix les poèmes d’Elizabeth, l’assonance d’un vers à l’autre enjolive l’écoute, la rime glissant naturellement dans un écho superbe.
À découvrir…
Thierry Sajat, Paris le 30-04-2018
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