Poètes et interprètes | Poème pour ma chérie
Ah ! Contempler tes mollets
C’est boire du petit lait.
Les caresser à la main
J’y vais avec entrain.
Tes captivantes cuisses
Ont une forme parfaite.
Quand mes mains s’y glissent
C’est une grande fête.
Tes fesses bien pleines
Réjouissent mes yeux
Comme lune dans les cieux.
Les masser, quelle aubaine !
Plonger le regard dans ton bassin
En explorer chaque recoin.
De tes seins qui le surplombent
Y faire une plongée, ça me comble.
Tes hanches ondulantes
Sont beauté troublante.
Elles lèvent dans mon cœur
Des vagues de bonheur.
Tes seins dressés sur ta poitrine
Semblent fières nectarines.
Mais pour leur tendre peau de pêche
Mes mains sur toi vont à la pêche.
Une seule fois dans ma vie
Par un jour chaud d’été je vis
Par l’échancrure de ton chemisier
Tes deux seins en entier. A s’extasier !
Tes très tendres épaules,
D’attraction sont des pôles.
Mes mains s’y prélassent.
Jamais ne m’en lasse.
Mes baisers douillets
Autour de ton cou
Forment un collier
Précieux comme un bijou.
T’embrasser dans le cou
En caressant ton sein
Est un moment bien doux.
Quel plaisir souverain !
Sur la plage de tes lèvres
Parfois les miennes s’enfièvrent.
Mais souvent des baisers langoureux
Me rendent très heureux.
Sur ton attirante bouche
Mes baisers se posent en masse.
Comme en moelleuse couche,
Longtemps ils s’y prélassent.
L’été les ailes de ton nez semblent
un papillon dont les ailes qui tremblent
Epandent le parfum du jasmin
Dans les allées en fleurs du chemin.
Les vagues de tes cheveux clairs
Ensevelissent tes oreilles.
Voyez comme elles semblent pareilles
Aux coquillages dans la mer.
Se tient dans ton cerveau très vive intelligence
Pas du tout au repos mais en effervescence.
Tout grand empêchement est par toi résolu
Et transformé en poudre comme café moulu.
Masser chaque partie de ton corps
C‘est compter les fragments d’un trésor.
Tel le plaisir jouissif d’un avare
Caressant chaque pièce qu’il accapare.
Que tu es belle des pieds à la tête.
Tu es sans pareille, chérie.
Dans concours de beautés tu serais en tête
Tu aurais le premier prix.
Pour moi tu es la femme unique
Ta beauté fait aux autres la nique.
Quand tu es loin, de toi j’ai la fringale
Quand tu es là, de toi je me régale.
En un mot tu es une belle plante.
La nuit ton souvenir me hante.
Ainsi grâce à toi toujours
J’ai du bonheur nuit et jour.
Pierre Daumas
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